La Résurection 02 - La Métamorphose –

La résurection 02 - LA MÉTAMORPHOSE –


Hervé le mari d’Angel, une mature de cinquante printemps, ne bande plus et il voudrait que son épouse prenne un amant. Il se confie pour cela à Katte, la meilleure amie d’Angel. Celle-ci en profite pour se faire faire minette par l’homme un peu décontenancé.


Je découvre surtout que cette femme de plus de quarante ans, qui selon toute apparence copule régulièrement avec de nombreux amants, possède un sexe aussi dissimulé et qui doit être bien étroit.


Je ne peux m'empêcher d'être excité à la vue de ce corps qui s'offre impudiquement à mon regard. Mes doigts ne tardent pas à parcourir la chair tendre qui frémit sous mes attouchements. Je glisse mes mains à l'intérieur des cuisses, caressant la peau grassouillette, enveloppant le pubis sous ma paume, tortillant aussi les quelques poils châtains qui surmontent son mont de vénus. Je glisse ma langue dans les plis de l'aine, arrachant à la belle Katte des gémissements brefs. Son ventre se soulève fébrilement et vient à la rencontre de ma bouche, cherchant de toute évidence des caresses plus précises.


Mais je fais durer le plaisir de l'attente, effectuant avec ma langue des circonvolutions lentes et adroites sur tout le bas-ventre, puis à l'intérieur des cuisses, dans les endroits les plus tendres de la chair féminine, m'approchant très doucement de la vulve encore fermée et qui se gonfle spasmodiquement sous mes yeux. Enfin de mes deux mains, j'écarte délicatement la vulve faisant apparaître les grandes lèvres que je lèche minutieusement, pour ensuite insinuer ma langue dans la fente vulvaire qui laisse suinter un filet de sécrétions intimes.


Katte gémit de plus en plus au contact de mes lèvres qui la gougnotent avec passion. Ma langue s'insinue dans la raie culière, alors que la pointe vient titiller la rosace brune de l'anus, qui se contracte sous la palpation audacieuse.

Pourtant les fesses charnues de Katte ne se dérobent pas sous mes doigts qui les malaxent hardiment, alors que ma langue s'infiltre dans les replis du sphincter étroitement serré de l'anus. Elle halète et soupire de plus en plus sous mes attouchements obscènes.


• Ooooh ! Tu es un cochon. Oui ! Continue ! Oh !.......... Ouiiiii ! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiii.........


Je profite de ses bonnes dispositions pour forcer la cavité resserrée de son anus avec un doigt enduit de salive, puis je l'enfonce dans le conduit rectal avec une grande délectation. Elle pousse hardiment sa croupe vers mon doigt qui pénètre dans son fondement, lui arrachant des feulements de jubilation. Ne voulant pas qu'elle se reprenne, ma langue remonte vers son vagin et cette fois je la glisse autour du capuchon du clitoris. Katte se tortille, allant au-devant de la caresse linguale qui affole tous ses sens.


Pourtant je me garde bien de découvrir son bouton d'amour, il est encore trop tôt. Je veux l'affoler, aussi j’explore tous ses replis, aspirant sa mouille qui dégouline maintenant à flots de son vagin entrebâillé, léchant les lèvres qui ont pris une couleur orangée sous l'excitation continue de ma bouche et de mes doigts. Enfin, à petits coups de langue, je décapuchonne le clitoris qui se dresse comme le pénis d'un petit garçon, arrachant à la charnelle Katte des cris d'exaltation inintelligibles. Elle se raidit brusquement alors que mes lèvres pincent son bourgeon et que mon doigt pistonne avec force son rectum.


Après plusieurs spasmes successifs, elle vient d'avoir sans nul doute son premier orgasme, je ne lui laisse aucun répit, broutant sans interruption sa vulve et son clitoris, lui tenant fermement les fesses d'une main, crispant mes doigts dans la chair bien ferme, pendant que de l'autre je fourrage maintenant avec trois doigts dans son anus qui se dilate sous mon harcèlement continu, preuve s'il en est qu'elle se fait enculer par ses amants et qu'elle aime ça. À bout de force et de jouissance, elle s'abat soudain sur moi, criant grâce, sanglotant et riant à la fois de la volupté intense qu'elle vient d'éprouver. Puis, elle se laisse glisser contre mon torse et m'embrasse fougueusement en m'enlaçant, tout en me remerciant de la jouissance incroyable que je lui aie procurée.


Je suis toujours à moitié étendu dans le fauteuil profond dans lequel je me suis enfoncé, lorsque je sens des doigts qui malaxent mon sexe qui à ma grande surprise bande furieusement depuis déjà un bon moment. Katte dégrafe mon pantalon et sort ma verge de mon slip en s'exclamant.


• Eh ! Bien mon salaud. - Je croyais que tu n'avais plus d'érection. - Pas possible c'est moi qui te fais cet effet ?


À ce moment, je sens ma verge glisser dans une cavité chaude et gluante. Katte me pompe littéralement le gland, faisant aller et venir ses lèvres sur la hampe de mon pénis gonflé, titillant avec sa langue l'entrée de mon méat, suçant et mordillant mon gland avec dextérité. Je ne peux me retenir très longtemps, je veux la prévenir que je vais éjaculer mais je n'en ai pas le temps. Mon foutre jaillit par saccades dans la bouche qui continue à me pomper, avalant mon sperme sans aucune hésitation.


C'est la première fois qu'une femme veut bien ingurgiter toute ma semence et je jouis comme jamais auparavant. Lorsque mon sexe est redevenu cette petite chose informe au repos, qui est d'ailleurs sa forme habituelle et permanente chez moi depuis des années, Katte se pelotonne dans mes bras et m'embrasse, mélangeant mon foutre à nos deux salives, tout en me glissant à l'oreille.


• Eh ! Bien infâme saligaud. - Tu bandes comme un taureau quand tu veux. - Tu m'as raconté des histoires. - Pourquoi ne fais tu plus l'amour avec ta charmante épouse ? - Tu es un vaurien paillard.


• Je t'assure. - C'est la première fois que j'ai une érection et un tel désir depuis bien longtemps. - Il faut avouer que tu as tout fait pour m'exciter et que ta jouissance a certainement affolé mes sens. - Mais tu sais Katte, c'est la première fois qu'une femme ose absorber mon sperme, car avant tout, sache qu'Angel a toujours répugné à me faire une fellation. - Je n'ai jamais voulu lui imposer cette pratique, elle l'a fait quelquefois mais jamais très longtemps et surtout en aucun cas jusqu'au bout.


• Pourtant tu n'as pas hésité à boire à ma source et tu m'as broutée divinement. - Angel ne m'avait nullement vanté tes prouesses manuelles et buccales. - C'est vraiment dommage que vous ne fassiez plus l'amour, tu es vraiment doué et pervers. - Je te promets que je vais essayer de convaincre ta tendre moitié d’oser des pratiques quelque peu lubriques, car je compte bien en profiter aussi, vu que je goûterais bien encore à ta bouche et à ta langue dans ma chatte et pourquoi pas, un jour tu pourras peut-être me faire l'amour.


Lorsque je rentre à l'appartement, je retrouve mon épouse avec un certain malaise. Je ne peux tout de même pas lui raconter que je viens de passer des moments merveilleux avec sa meilleure amie. Je suis aussi soucieux de l'entretien qu'elle va avoir avec Katte, bien que je soupçonne celle-ci d'être assez finaude pour lui faire accepter mes suggestions inconvenantes…


À suivre…